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MISSIONNAIRES ET NATIFS

MARC 16:15

           15       Puis il leur dit : Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création.

           16       Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné.

 

 

UN.PROPHÈTE.VISITE.L.AFRIQUE.DU.SUD_  PAGE.99

Je me renseigne auprès des missionnaires, pour savoir s’ils ont entendu dire qu’un pasteur indigène a reçu le don de guérison comme Frère Bosworth l’a dit dans la réunion. L’un d’eux me parle d’un pasteur indigène qui croyait déjà à la guérison Divine, mais qui n’avait encore jamais prié pour un malade, faute d’avoir suffisamment de foi en sa propre prière. Cependant, après cette réunion, il est allé voir plusieurs malades pour prier pour eux, et nombre d’entre eux ont reçu leur guérison. Plus tard, ce même missionnaire m’écrira ceci : « L’indigène qui a reçu le don de guérison est natif de l’Angola (Afrique portugaise). Il est illettré au point qu’il lui arrive souvent de ne pas pouvoir se faire comprendre. Il est encore tout jeune, mais Dieu a élevé Son serviteur, et il est maintenant très recherché. Des camions entiers de malades lui arrivent de loin pour qu’il prie pour eux. Hier, je suis passé près de l’endroit où nous avions eu les réunions pour métis et indigènes, et il était là, en train de tenir une réunion en plein air. »

D’autres récits au sujet de cet indigène confirmeront que Dieu a donné le don de guérison à un pasteur indigène qui se trouvait là, et qui avait osé mettre sa foi en Dieu et s’engager davantage dans la foi.

Je reproduis ici un autre compte rendu de la série de réunions du Cap, qui a été publié dans les îles Britanniques par le Redemption Tidings, et plus tard en Amérique par le Herald of Faith.

 

UN TEMOIGNAGE PLUS GRAND QUE CELUI DE JEAN - Macon, Georgie, USA - Jeudi 9 juin 1955, soir

  1. Merci beaucoup. Bonsoir, mes amis. Je suis très heureux d'être ici ce soir et de savourer ce merveilleux message (toute la partie que j'ai suivie), de frère Thoms. Et je sais que c'est un serviteur du Seigneur Dieu, car il l'a prouvé depuis que je le connais. Et nous sommes donc très heureux de ce message, et j'espère que cela est allé droit au fond de chaque cœur.

 

            Et maintenant, frère Thoms est aussi un - un missionnaire auprès des natifs en Afrique. Et je pense qu'on prend des dispositions  pour lui donner une offrande de (du moins, c'est ce que j'ai demandé) pour sa mission là-bas auprès des natifs. Après avoir été là-bas moi-même, eh bien… Evidemment, sachant bien ce que cela signifie d'être missionnaire, je pense que le genre de - de mission qu'exerce frère Thoms, c'est vraiment le genre correct.

 

  1. Vous voyez, tout d'abord, le natif se méfie un peu de l'homme blanc au départ, quand ce dernier arrive. Mais frère Thoms a une idée que le Seigneur a donnée il y a des années. Une fois, je lisais un petit livre venant d'un champ missionnaire, sur lequel se trouvait l'image d'un vieil homme de couleur, ayant une petite couronne de cheveux blancs. Il disait : "Homme blanc, homme blanc, où était ton père? " Il disait : " Je suis vieux et je n'ai plus l'esprit vif; je suis en train d'apprendre Jésus. Si je L'avais connu, je L'aurais apporté à mon peuple." Cela m'a frappé. "Si je L'avais connu quand j'étais jeune, je L'aurais apporté à mon peuple." Eh bien, c'était juste. Vous voyez, premièrement, l'homme blanc ne peut même pas aller là où peuvent aller les natifs. Il ne peut pas mener le même genre de vie. Et je me suis dit : "Amenez les natifs au salut et laissez le natif faire lui-même l'œuvre missionnaire." C'est ce que fait frère Thoms.

 

 

UN PARADOXE - Phoenix, Arizona, USA - Dimanche 17 janvier 1965, après-midi

  1. Je suis si heureux maintenant d'être un natif... Je pense que j'ai accompli une année, et peut-être un peu plus. Mais on n'en trouve pas beaucoup qui ont plus d'années que ça. N'importe qui que je rencontre, je lui demande: "Êtes-vous un natif?" [Il répond]: "Eh bien, autant que l'on puisse l'être. Ça fait très longtemps que je suis ici."

 

UN SOUPER DE NOCES - Chicago, Illinois, USA - Samedi 6 octobre 1956, soir

  1. Eh bien, priez pour moi, là où je vais, je compte maintenant faire une tournée à l’échelle mondiale, aller dans chaque grande ville du monde si c’est possible et avoir des ouvriers autochtones pour continuer. Et maintenant, c’est pour ce mois de juin prochain. Ma prochaine série de réunions la plus proche ici, au mieux de ma connaissance, je suis… D’ici je m’en irai à Salmon, dans l’Idaho. Mais la série de réunions prochaine la plus proche se tiendra à Lima, dans l’Ohio, et ce sera du dix au quinze janvier chez les baptistes. Et puis, à partir de là, nous irons à l’est et ensuite nous retournerons à la côte ouest. Non, pardonnez-moi. En janvier, après cela, nous retournerons à la côte ouest, et alors nous nous apprêterons pour aller outre-mer.

 

ISRAËL DANS SA PATRIE -  29.03.1953 JEFFERSONVILLE, IN, USA

37       Je lui dis que le même Dieu dont le missionnaire avait parlé, était la Tête de toute guérison, et je le leur ai prouvé sur l'estrade. Alors ils ont accepté Christ et sont allés dans les jungles et là-bas. Un des confrères là-bas, qui est allé dans les champs missionnaires, baptise en moyenne un millier de personnes par semaine, en ce moment, qui sont eux-mêmes des indigènes. C'est cela la mission. Dieu est en train de faire une œuvre vraiment rapide.

 

ARCHE, L’ -  22.05.1955 JEFFERSONVILLE, IN, USA

10        Frère et sœur Schoeman de l’Afrique du Sud sont en route pour ici. Et ils sont à la tête de l’Association ministérielle de l’Afrique du Sud. C’est pour organiser notre voyage en Inde cet automne, et ainsi de suite.

            Frère Thoms de l’Afrique du Sud est ici. Je l’ai rencontré l’autre jour. Il fait un excellent travail là-bas parmi les indigènes. La raison pour laquelle j’aime bien le programme de frère Thoms, c’est que ce programme dont il parle, et que lui et frère Tommy Osborn ont mis en œuvre, en est un que je trouve correct et qui mérite d’être encouragé. C’est qu’il envoie des missionnaires indigènes. Voyez-vous, après tout, qui connaît mieux les indigènes que les indigènes.

            Et l’on pourrait nous envoyer ici un gars de l’Australie. Ce serait un frère, nous l’aimerions, l’accepterions et tout; mais il ne connaîtrait pas les coutumes américaines, les manières américaines. Ça prend un Américain pour faire ce travail correctement. Et qu’en serait-il si on nous envoyait quelqu’un ici de la Chine? Eh bien, ce serait un missionnaire qui probablement parlerait peu l’anglais. Mais son langage serait entrecoupé et ça n’aurait pas l’effet escompté d’un homme qui saurait comment aller vers les Américains, pour travailler avec les Américains, et faire selon leurs coutumes et ainsi de suite. Et c’est ainsi que cela fonctionne. Nous, les gens d’ici, nous sommes un peu différents au nord et au sud, à l’est et à l’ouest, à cause des accents et ainsi de suite.

 

AGE DE L'ÉGLISE D'ÉPHÈSE, L’ -  05.12.1960 JEFFERSONVILLE, IN, USA

45        Le premier âge de l’église a commencé en 53 de notre ère environ, lorsque Paul fonda l’église d’Éphèse. Lors de son voyage missionnaire, il établit l’église d’Éphèse, et il en fut le pasteur jusqu’à ce qu’il soit décapité en 66, ce qui fait qu’il fut pasteur de cette église environ vingt-deux ans. Après sa mort, il est dit que l’apôtre Jean devint le pasteur de cette église, et en eut la charge durant cette période. L’âge d’Éphèse atteignit celui de Smyrne qui commença en l’an 170.

SEPT.ÂGES_  CHAPITRE.5  PAGE.181

Dans cet Âge de Pergame, le Seigneur dénonce deux doctrines qu’Il hait : 1. La doctrine de Balaam qui, à Baal-Peor, a introduit en Israël l’idolâtrie et les excès coupables; 2. La doctrine des Nicolaïtes, qui dans l’Âge d’Éphèse n’existait qu’à l’état d’oeuvres. En associant cette dénonciation avec le fait qu’Il souligne que Pergame est le trône de Satan, on peut aisément et justement conclure que la religion de Babylone s’est mélangée au Christianisme.

Or, ceci est plus qu’une simple supposition; c’est un fait historique, que nous prouverons en reprenant l’histoire à partir des alentours de l’an 36 de notre ère, et en la suivant jusqu’au concile de Nicée en 325. Quand les Chrétiens (pour la plupart Juifs de naissance) furent dispersés loin de Jérusalem, ils allèrent partout prêcher l’Évangile, en particulier dans les synagogues. Ainsi, trois ans plus tard, c’est-à-dire vers 36 ap. J.-C., l’Évangile avait été apporté à Rome par Junius et Andronicus, qui étaient apôtres, selon Romains 16.7. L’oeuvre y prospéra pendant plusieurs années, jusqu’à ce que les incessantes querelles entre Juifs poussent l’empereur Claude à chasser ces derniers de Rome. Les Juifs bannis de la ville, la colonne vertébrale de cette petite Église était presque brisée. Peut-être même que les anciens avaient été des Juifs, et qu’ils étaient donc partis. Le troupeau restait sans surveillance, et, comme la Parole n’avait pas encore été écrite pour servir de guide, ce petit troupeau risquait fort de partir à la dérive ou d’être submergé par les philosophes et les païens de l’époque. Comme les loups cruels rôdaient, et que l’esprit de l’antichrist était en liberté, l’histoire nous montre que cette petite Église de Rome rétrograda au-delà de tout espoir, et qu’elle se mit à introduire des cérémonies païennes sous des titres chrétiens.

La période d’exil ayant duré treize ans, les fondateurs, Junius et Andronicus, ne revinrent pas avant l’an 54 ap. J.-C. Imaginez leur stupeur, en trouvant une Église affublée d’un titre chrétien, mais terriblement païenne. Il y avait dans l’église des autels sur lesquels on mettait de l’encens et sur lesquels on célébrait des rites païens. Ne pouvant pas obtenir de recours auprès des chefs établis de cette Église, ils fondèrent une nouvelle Église, la Seconde Église de Rome, avec les quelques individus qui avaient essayé de rester fidèles. Dieu agit généreusement parmi eux, au moyen de signes et de prodiges, au point qu’on fonda une troisième Église. Et, bien qu’on ait reproché à la Première Église d’être païenne et NON chrétienne de culte, elle refusa d’abandonner son titre. Ainsi, elle resta et RESTE ENCORE la Première Église de Rome – l’Église catholique romaine.

 

UN.PROPHÈTE.VISITE.L.AFRIQUE.DU.SUD_  PAGE.115

Après avoir apporté son message sur le salut personnel, Frère Bosworth leur parle pendant quelques instants des vérités de la guérison Divine. Puis il prie pour eux et les encourage à revendiquer la guérison acquise par Christ lorsqu’Il a expié la peine du péché. En quelques minutes, cinq personnes, toutes incapables de marcher depuis des années, s’avancent pour témoigner de leur guérison. Parmi elles des enfants qui n’ont jamais pu marcher correctement, une autre une dame qui était en fauteuil roulant depuis cinq ans. Un pasteur missionnaire du nom de Brown racontera qu’il y avait juste devant lui quatre sourds-muets. Ils n’ont rien entendu de la réunion, mais quand ils voient ces cinq personnes se lever de leur fauteuil roulant et marcher, – certains tout à fait normalement, d’autres avec peine mais croyant en Dieu pour une délivrance totale, – ils ont dû prendre conscience que Dieu guérissait les gens, et que c’était le moment de revendiquer leur guérison. Quelle que soit la conclusion à laquelle ils sont parvenus pendant qu’ils étaient assis là, sans qu’ils aient entendu, mais en voyant ce que Dieu faisait, Dieu leur a donné l’ouïe. Pour la première fois de leur vie, ils entendaient des sons. Le pasteur Brown me racontera qu’il n’avait jamais vu des gens aussi heureux que ces quatre hommes, au moment où ils ont pris conscience qu’ils entendaient.

ANGE ET LES TROIS PULLS, L’ -  14.04.1951 PHOENIX, AZ, USA

41       Disons: «Gloire à Dieu!» Très bien. Que tout le monde soit respectueux. O Dieu, si–s'il y a des Indiens Apache ici, j'ai reçu votre télégramme venant de San Carlos. Et peut-être que je devrai quitter très tôt lundi matin pour retourner chez moi prendre ma femme, et aller une fois de plus en Californie pour l'été. Si je n'y vais pas, j'aimerais passer deux ou trois jours là, dans la réserve avec vous. Si j'y vais effectivement, peut-être que je pourrai avoir au moins un jour sur mon chemin de retour pour m'arrêter là et visiter les Indiens à la réserve de San Carlos. Si le missionnaire est ici, j'essaierai d'être de retour aussitôt pour être avec vous, mes bien-aimés.

           A un moment donné, si vous le désirez, moi aussi j'aimerais venir là être votre pasteur associé pour un peu de temps, tout simplement pour rester avec vous, vous aider, là, pour un peu de temps.

           Je n'aime pas voir les gens être rejetés. Non, monsieur. Je pense que nous devons beaucoup aux Indiens. Amen. Que Dieu les bénisse. Je n'en ai jamais vu un seul venir dans la ligne de prière sans être guéri. C'est vrai. Eux et les Espagnols sont humbles, très humbles, ils croient ce qu'on leur dit. Et c'est ce qu'il faut.

 

 



18/08/2017
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